• Horreur, ce matin au déjeuner, après avoir suivi les conseil de mon médecin, ba oui je ne mange pas de sucre, donc mon "petit déjeuner" avalé (soit un peu de saucisson, jambon cru, tomates farcies froides, une bonne roustide et un peu de caillette et deux litres de bon rouge tannique à souhait) je suis allé un peu voir mon bloguinet

    Je lis donc tous vos genti les messages, puis je suis allé consulté les stats de mon blog,et la horreur la date de création du blog date du 22/04/2006, soit 8 ans. Punaise je n'y crois pas, j'ai donc veillit de 8 ans, pfffffff  qui a dit que la vieillesse était paisible et tranquille ?

     

    Chose que ne font jamais les blogueurs, je publie les stats, un peu comme le certificat médical du président de la république française. A oui, pourquoi pas de majuscule, because la france est en train de disparaitre

     

    A bientôt, et sachez que je ne mens pas

    Les statistiques générales de votre blog depuis sa création

    Date de création : 22/04/2006
    Pages vues : 6 381 313 (total)
    Visites totales : 3 418 329
    Journée record : 16/06/2007 (8 553 Pages vues)
    Mois record : 10/2012 (163 330 Pages vues)

    * Nombre de personnes différentes ayant visité votre blog durant une journée


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  • ARTICLE précedent 1/2 >>>>>> ICI

    Pour les nostalgiques, vous pouvez tout débroussailler à la main sans émission de CO2.

    Cela vous évitera d'aller en salle de gym et vous respirerez du grand air pur

    Suppression de votre abonnement au sauna, la sueur est gratuite et assurée

    Pas de facture de dépannage , rien ne tombe en panne

    Pas de piles chinoises

    Juste une bonne fatigue utile

     

    Comme l'article précédent n'a pas eu d'écho, je vais faire court cette fois

     

    on commence par le vibou, le nom françaisje ne connais pas

     

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    fabrication française et locale, acier d'excellent qualité et durable

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    le fauçon, ou faussoun, en farçais je ne sais pas

     

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    des serpes, (faucilles) dont une pour la lavande

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    et pour les amateur de fini parfait, une force à tondre (bon d'accord c'est pour tondre les moutons, mais vous pouvez vous mettre à quatre pattes et tondre votre pelouse), ou vous couper les ongles !

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    zut la lame droite passe sur la gauche en temps normal, mémé Mounic va me gronder

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    Pour les détails aussi, le couteau scie

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    Un petit Daï(faux), je m'excuse mais je n'ai pas de vrai Daï, ni le marteau qui va avec et l'enclumette à planter dans le sol dont j'ai oublié le nom en provençal

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    Une "loube"

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  • De Sereno Bruno

     

    Où es tu mon village

     

    je ne te reconnais plus mon village

     

    ou sont passe les 6 boulangers qui au petit matin sortaient de leur

     

    fournil pour s’aérer de leur chaude nuit et d’ ou l’ on sentait la

     

    bonne odeur de pain chaud cuit au feu de bois avec les rameaux de

     

    nos collines qui vous ouvrait les papilles

     

    ou sont passes les 8 épiceries ou nous allions chaparder des bonbons

     

    sous l œil de la patronne qui le ferme a moitie ou le vendredi jour

     

    de carême dans de grande bassines trempait la morue dessalée

     

    prête a cuire la vrai morue bien épaisse et non celle d’aujourd'hui a

     

    laquelle Findus a voté les filets ou le café se vendait en vrac et que

     

    le gros moulin a main vous mouline a la demande ou l épicière achetait

     

    le thon a l huile en boite deux ans a l’ avance pour qu’ il se bonifie

     

    contrairement a nos dates limites actuelles ou les bouteilles toutes

     

    en verre étaient consignées ou les pâtes étaient vendues en vrac et

     

    les fromages a la coupe

     

    ou sont nos cinq bouchers charcutiers qui vendaient la bonne viande

     

    de boeuf qu’ils abattaient eux même a l’abattoir municipal et fabriquant

     

    dans leurs laboratoires saucisson saucisses chipolatas caillettes

     

    boudins et andouillettes et ou nous allions acheter un bon gros

     

    morceaux de vantresque (poitrine de cochon)que maman mettait dans la

     

    soupe de légumes qui mijotait sur le potager(foyer sur grilles au charbon de

     

    bois)ou sur la cuisinière et que nous mangions avec des pommes de

     

    terre et de la moutarde cette chair provenait de cochons élevés au

     

    grain patates légumes etc.… un rôti de 1 kilo restait de 1 kilo après

     

    cuisson aujourd’hui une fois cuit il semble avoir rétréci au lavage

     

    cela me fait penser aux bugadieres( femmes dont la profession était de laver pour

     

    autrui le linge a la main avec savon de Marseille le vrai et battoir au lavoir municipal ,dur

     

    labeur)

     

    que sont devenus nos cordonniers nos marchands de chaussures nos

     

    bijoutiers nos magasins de souvenirs notre armurier qui ajustait

     

    nos fusils a la main nos merceries drogueries ou l on trouvait tout

     

    ce que l’on  voulait des simples clous a la bassine en zinc les boutons

     

    de culottes a la pelote de ficelle

     

    ou sont le photographe , le rémouleur , le vannier qui outre les

     

    paniers et les habillages de bonbonnes fabriquait aussi des canisses

     

    pour abriter du vent les plantations de violettes nombreuses dans la

     

    vallée

     

    mon village ou sous chaque génoise des maisons portait un nid

     

    d’hirondelles ou les soirs d été devant chaque porte les gens

     

    prenaient le frais’’(comme l’on disait)pas gêné par les voitures et les

     

    charrettes des paysans étant remisées les potins et les nouvelles

     

    qui se mélangées allaient bon train tandis qu’autour des lampadaires

     

    les chauves souris prenaient leur casse croûte le silence de la nuit

     

    était seul trouble par le huhulement d une chouette perchée dans un

     

    grand arbre voisin

     

    ou est le chemin de mon école ou tout le monde venait a pied pour

     

    revêtir en entrant dans le préau qui servait de vestiaire nos blouses

     

    grises toutes identiques symbolisant l égalité et préservant nos

     

    vêtements des taches d encre produites par nos « plumes sergent 

     

    major » trempées dans les en encriers en porcelaine incorpores dans

     

    nos bureaux a deux places en bois de platane pour la robustesse,

     

    alors commençait la classe dans les primaires par un cours de

     

    morale ou de civisme que prodiguaient des instituteurs que tout le

     

    monde respectait et qui se respectaient eux même par une apparence

     

    ¨physique impeccable

     

    l hiver sur le chemin ce trouvait un bouilleur de cru ambulant qui

     

    distillait après les vendanges dans son gros alambic en cuivre rouge

     

    le marc de raisin pour en faire une délicieuse eau de vie nous nous

     

    arrêtions pour réchauffer nos mains au feu de bois qui l alimentait

     

    et surtout pour quémander une goutte de ce breuvage interdit aux

     

    enfants il arrivait que quelquefois il cédait a notre demande, en nous

     

    faisant promettre de ne le dire a personne

     

    ou es-tu mon village aujourd'hui colonise par les voitures ou les

     

    gens ne se connaissent plus entre eux ou chacun vit égoïstement s

     

    enfermant chez soi devant la télévision sans ce préoccuper si le voisin

     

    est vivant ou mort

     

    heureusement notre jeunesse est de plus en plus sportive ce qui

     

    est un grand bien en leur ouvrant les chemins de la solidarité et

     

    du respect de soi même le drame ait cette drogue qui nous a été

     

    importée des pays du sud qui fait de plus en plus de ravage sur leur

     

    santé et dont la dépendance pousse certain jusqu ‘au crime pourquoi

     

    avoir décourager et même interdit l’ apprentissage (en rendant l’école

     

    obligatoire jusqu ‘a 16 ans) qui avait permis a tant de génération de prendre

     

    conscience de leur valeur

     

    modernité

     

    s il est vrai que cet ordinateur sur lequel je tape ce billet est un

     

    engin superbe mais je me pose la question de savoir si entoure de

     

    machines de plus en plus performantes qui commande a l’autre qui

     

    devient son esclave «  l’ homme ou la machine »

     

    certes je regrette mon village d antan car il représente ma jeunesse

     

    et ma vie mais la ou je suis furieux envers ceux qui nous dirige et qui

     

    se disent écologistes de l’incurie devant l’extinction de toutes nos

     

    espèces sauvages

     

    l hirondelle , les pinsons, les rouges gorges ,les alouettes, les

     

    serins, les verdales de nos oliviers, la grive ,les merles, les

     

    chouettes ,la perdrix rouge, et maintenant même les étourneaux au

     

    prétexte qu’ils pillent les cultures se céréales(anecdote , il y a quelques

     

    temps déjà , ma femme qui étendais son linge dans le jardin ,m’appela « Bruno viens voir »,

     

    j’approchais et vit sur une branche d’olivier un pinson qui battait furieusement des ailes, puis

     

    il tomba raide mort ;intrigue je pris des ciseaux et ouvrit son estomac , nous étions au début

     

    du printemps époque des semailles ,celui-ci contenait des belles semences «Monsanto» de

     

    couleur rouge n c'est-a-dire empoisonnes

     

    les abeilles, les araignées, les lézards de muraille ,le lézard vert,

     

    et si ça continu même les cigales en causes tous ces pesticides qui

     

    plus est sont en vente libre dans toutes les jardineries et ou le

     

    brave retraite ou les autres qui ont 4 pucerons sur leur rosiers

     

    déversent a profusion ces produits qui empoisonnent aussi bien le

     

    sol que l eau pour preuve dans les sols on ne trouve plus de vers

     

    de terre et même les escargots qui se reproduisent par leurs œufs

     

    enfouie sous terre un autre qui a un olivier pour empêcher la mouche

     

    de l olivier emploi 100 fois la valeur nécessaire croyant bien faire

     

    nos rivières c’ est désastreux fini les ablettes’ les barbeaux , les

     

    tanches, les gardons, les anguilles, les truites arc en ciel ,sauvages,

     

    subsiste encore quelques chevennes et des truites d élevages sitôt

     

    lâchées sitôt prises si vous doutez venez a Sollies pont ou le gapeau

     

    traverse le village et regardez du haut des trois ponts ce qu il en ait

     

    la mer

     

    dois je parler des criques de Porquerolles île que je fréquente en

     

    bateau depuis plus de 30 ans avant il était impossible de marcher dans

     

    les algues sans sortir avec des dizaines d’épines d’oursins plus de

     

    soucis ils ont disparus lorsque l’on prenait le masque on se serait

     

    cru aux Antilles algues vertes poissons multicolores castagnoles

     

    rouge petits alevins par milliers sars bogues ravelles poulpe a

     

    chaque rocher sarans girelles chapons en planque etc ……… aujourd'hui

     

    hui tu prends le masque et appercois des algues malades et le fond

     

    tapisse d une mousse jaunâtre que je soupçonne être les nitrates

     

    de nos lessive et autres allégrement déverses même plus les

     

    grands bancs de saupes qui fréquentaient les bords . fini les moules

     

    sauvages que nous ouvrions cuites pour l apero

     

     a chaque pêche de nuit en ces temps la nous revenions avec 10 kilos

     

    de poissons (ça c’était avant) aujourd'hui plus rien nous avons abandonne

     

    cette les pécheurs professionnels du moins ceux qui reste ne sont

     

    pas mieux lotis

     

    a mon avis les causes sont 1° les 10000 touristes fréquentant l été l

     

    île sans aucune station épuration digne de ce nom y soit installée

     

    2° jusqu en 1950 le draguage et pose de filets était interdit a ¨partir

     

    du saranier sur toute la longueur de la partie est sud est de l île

     

    les anciennes cartes marines en font nettement mention par un

     

    trait rouge bien établi a partir de 1951 cette interdiction fut levée

     

    je me souviens que les professionnels a chaque levée ramenaient

     

    jusqu a 80 kilo de chapons et autant de sars partant de la 20 ou 30

     

    chalutiers sillonnent nuit et jour la baie de Hyères ramenant sans

     

    distinction des milliers d alevins qui finissaient soit en soupe soit

     

    directement a la mer ceci pendant des années la reproduction ne fut

     

    plus assurée sachant que la baie était connue de tous temps pour un

     

    lieu important d alevinage

     

    je me suis laisse dire que cela était voulu en effet les politiques ont

     

    toujours déclarer vouloir faire de la baie de Hyères le plus grand

     

    centre européen de voile cela était incompatible avec tous ces

     

    pécheurs impossible leur dire de partir donc il fallait les laisser se

     

    détruirent eux-mêmes pour cela pêche a outrance jusqu a disparition

     

    du poisson ils semblerait qu ils ont réussi

     

    ça c’est maintenant


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