• Encore un titre attrape couillon, il n'y a rien de jeune, les légumes étaient fatigués et attendaient le nouveau frigo (je pense que le livreur est jules Verne, punaise c'est long)

    Bref les légumes de serre merdique, ne se gardent qu'au frigo, même les poires , qué cagade.

    Le seul jeune c'était moi, heu......je me suis fait ma ratatouille disco à fond, la preuve c'était tellement fort qu'en  éminçant les légumes je me suis coupé un doigt, et bé rigolez, je ne suis pas entendu crier. Le morceau est partie dans le plat, je croyait que c'était un bout de carotte

    Je me croyais encore à ibiza jeune, mais ......il est loin ce passé

    Voici quelques photos de cette ratatouille, la recette viendra après, car il me reste une montagne de travail, et qui plus est vous savez toutes faire une ratatouille sacrè nom de ....... Mais j'ai trouvé une astuce afin que les aubergines ne pompe pas l'huile, mais on en reparlera

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    ça on verra plus tard, ce n'est que du foieDSC00459.JPG


    .


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  • Ce robot cutter offert par Rue du Commerce il y a quelques année et qui était d'un prix modique  (environ 40€ mais très solide), n'existe plus dans la gamme Kenwood, dommage, car hier il a été mis à contribution au max, et il a tenue le coup


    Ciel-0337.JPG

    La recette du pain de figues est simple, le hic est de hacher tout les ingrédients rapidement sans gros effort (because mes mains ne fonctionnent  pas trés bien en ce moment, toutefois je reconnais encore au touché les figues des pastèques)heuuu.....ne vous fâcher pas mesdames

    veronika_zemanova_012_500x762.jpg

    Plus sérieusement il me faudrait un conseil, si vous connaissez cette recette et si vous connaissez le , ou les noms véritables vous pouvez me l'indiquer

     

    Perso cette recette vient d'Andalousie, mais je suis sur que dans le grand Sud elle doit exister sous d'autres noms. Bon, la recette maintenant, je devrais appeler ce blog "le casse roustons bavard"

     

    Recette

     

    Dans cette version se sont tous les fruits confits restants de Noël qui y sont passés, et ils était un peu durs

    Il faut en principe, ce que vous avez. Figues et raisins secs  amandes peuvent faire une bonne base. Ci-dessous mes ingrédients

     

    - 200 gr de figues sèches
    - 150 gr d'amandes

    - 300 grammes de dattes (sans noyaux évidemment)

    - 1 poires confites

    - 3 pruneaux d'agen, idem sans noyau

    - 1 bonne cuillère à soupe de farine
    - 1 cuillère à soupe de miel ou de confiture de gingérines au citron ICI

    coings--9--copie-1.JPG

    Même la partie liquide des la confiture de figues blanches ICI

    figues-2.jpg
    - 1 pincée de thym moulu
    - 2 bonnes cuillères à café de cannelle moulue
    - 1 grosse cuillère à soupe de graines d'anis vert trempées la vielle dans le pastis
    - 1 peu de noix de muscade râpée
    - 1 très légère pincée de poivre noir très fin
    - j'ai zappé le gingembre moulu (option) because ça pique


     

    Le plus long c'est d'enlever les noyaux, puis de pré-hacher les ingrédients au couteau, autrement le robot cutter rend l'âme


    DSC03130-copie-1.JPG

    Une fois pré-hachés, couteaux, demie lune, ce que vous voulez, introduisez par petites quantités ces ingrédients


    Au fur et à mesure versez la mixture obtenu dans un saladier, et bien mélanger

    Assaisonnez ensuite avec les éléments pré-cités, ajoutez la farine, touillez

    Puis le miel ou la confiture de gingérine, attention il faut que cela colle juste un peu

     

    Versez le tout au fond d'un sac plastique congélation afin de faite un boudin cylindrique

    Laissez boudin dans on plastique au frais au moins une nuit mini

     

     

    Ensuite coupez avec un couteau très tranchant ou trempé dans de l'eau très chaude

    A déguster nature, ou tiéde en les passant au four

    Les rondelles peuvent être intégrées dans une tarte ou une pizz ah, merdum!

    Voici celui qui remplace le Kenwwod du haut et qui s'en approche le plus, mais il coûte 120 €. Ils poussent un peu loin les profiteurs!!!!!


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  •   Le nom de cette recette ne vous dira sans doute rien car elle appartient au vocabulaire de ma belle mère Andalouse, si vous connaissez le vrai nom je serais enchanté de le connaître. Cette recette permet de me servir du petit salé à l'Espagnole.

    Pour les amateurs de recette de cette Province voir en fin d'article

     

    En principe cette recette se réalise à partir d'un fond blanc espagnol à l'aide d'os d'échine de porc salé,pieds de moutons..... chose que l'on ne risque pas de trouver par chez nous. J'ai donc extrapolé avec ce petit salé ICI

    Attention ce petit  salée doit être cuisiné et non pas mangé en cru comme une charcuterie car sa teneur en sel est élevé

    Avec cette recette on peu nourrir un régiment, selon la quantité de farine,  à condition que tout le monde mette la main  la pâte

    Gurullos

     C’est pas top comme image, mais c’est pas mauvais

    « Con mucho gusto » comme ils disent en Andalousie 

     

     DSC08768

    - 1 oeuf

    - 1 pincée de sel

    - + ou - de 100 grammes de farine, cela dépend de la grosseur de l'oeuf

    - 1 oignon

    - 1 poignée de fèves crues sans la peau (facultatives, celle ci seront ajoutées 10 minutes avant la fin de la cuisson)

    - 3 gousses d'ail

    - 1 feuille de laurier

    - sel poivre

    Coupez quelques lamelles de petit salé et émincez un oignon, faire un peu colorer, ajoutez une petite branchette de thym et 3 gousses d'ail hachées, une feuille de laurier, sel poivre  et portez à forte ébullition pendant 10 minutes

     DSC08738

    Pendant ce temps faites vos "pâtes " à la main en délayant 100 grammes de farine T55 avec un oeuf et une pincée de sel

    Bien la pétrir et faire de petits boudins comme  ci dessous

     DSC08743

     Puis avec le pouce et l'index faire de petite pâte de cette forme

    Les personnes qui on l'habitude de toucher du fric auront une facilité naturelle à effectuer geste, c'est explicite non !

    Sachez qu’il m’a fallu  presque 1 heure pour confectionner ces 100 grammes de  pâtes, d’accord je ne suis pas doué

    Voici une photo pour vous en donner l'échelle, j’espère que vous avez reconnu une antique critérium, séquence nostalgie

     DSC08758

      Attention ces pâtes gonflent un peu et sont longues à cuire, (1 heure dans mon cas) elles servent surtout dans des "caldo" (bouillon composé avec de variétés de viandes ou de poissons et de légumes)

    Dans cette version il s'agit simplement d'une soupe grossière comme toutes les recettes que je vous propose, mais au moins cette soupe a le mérite d'être naturelle

    Vous pouvez l'enrichir à la campagnarde pour ne pas dire le terme péjoratif à  tort de "à la paysanne", avec un oeuf cassez dans votre assiette chaude  et battu, ou alors quelques gouttes d'huile d'olives

     

    Source le net :   http://almeriatendencias.com/2013/01/21/gurullos-almerienses-gastronomia-popular-almeria-filabres-conejo/



    Plato de gurullos de Almería

    Es fácil encontrar la receta de los gurullos almerienses, eso sí, la elaboración del caldo porque lo complicado es saber cómo se hace la masa. Afortunadamente con el paso de los años me he aficionado a este tipo de platos tradicionales, de los que renegaba en una etapa de mi vida porque se hacían con cierta frecuencia en casa. Tuve que abandonar el “nido” y vivir fuera de la provincia y del país, para apreciar esta gastronomía tan nuestra, es decir, la comida de cuchara (expresión que tiene su historia y que os desvelaré en otro momento caña mediante). 

    Pues bien, a lo largo de este post voy a describir cómo se hace la pasta de los gurullos, tal y como me lo ha explicado y he visto hacer a mi abuela. Espero trasmitirlo con el mismo cariño y dulzura que ella emplea para hacer cualquier cosa. En el fondo y en la forma, este texto es un homenaje a ella, es una suerte tener una maestra de esta categoría.

    La gastronomía es el reflejo de la historia de un pueblo. Los gurullos demuestran nuestra influencia árabe y un pasado duro donde la economía de subsistencia,  nos llevó a elaborar platos con ingredientes básicos pero, no por ello, menos sabrosos. En el caso de los gurullos necesitamos simplemente: agua (250 mililitros), una pizca de sal, unas gotitas de aceite, azafrán, harina de trigo y una cucharadita pequeña de sémola de trigo. Ha sido imposible conseguir que mi abuela me especificara cantidades, según ella, te lo va pidiendo la masa, el problema es que yo no la he escuchado hablar…

    Calentamos el agua y la vertemos en una fuente grande, le añadimos una pizca de sal, unas gotas de aceite y el azafrán, mezclamos bien. Una vez que el agua esté teñida de amarillo, vamos incorporando poco a poco la harina de trigo y moviendo con ayuda de un tenedor. Cuando vaya tomado consistencia le añadimos la cucharadita de sémola de trigo y pasamos a trabajar la masa con las manos. Para trabajar la pasta con ellas, vamos retirando la masa de los bordes y llevándola al centro, apretando con las llevas de las manos y nudillos. Así hasta que adquiere una textura compacta, pero que nos permita trabajar con ella. Tapamos con un paño y dejamos reposar un par de horas.

    ¡Y ahora llega lo complicado! Para que los gurullos salgan más o menos uniformes, el proceso es más laborioso y entretenido de lo que parece… Se coge una bolita de masa y se hace un rulo con las manos como si fuera “plastilina”,  se va frotando y haciendo una correa fina, luego se va dando forma a los gurullos y separando con los dedos pulgar y corazón. Se distribuyen en una bandeja plana cubierta por un paño de tela. Éste es el momento en el que de verdad se aprecia un plato de gurullos.

    Debo confesar que nunca he encontrado el tamaño óptimo de los gurrullos hasta que los he elaborado con mis propias manos, los caseros siempre me parecían o demasiado finos o demasiados gruesos. Ahora conociendo el proceso,  todos menos los míos, me parecen perfectos.

    Durante el proceso da tiempo a pensar en todo, yo me imagino a esas mujeres “de antes” pasando las noches frente a la chimenea, “echando la velá” con las vecinas y “repasando” la vida del pueblo, mientras daban forma a los gurullos. En mi caso particular no hubo ni “velá” ni “repaso” pero todas las generaciones de mujeres de mi familia disfrutamos de lo lindo en una tarde de transferencia de conocimiento y sabiduría popular.

    En la zona de la costa los gurullos se elaboran con pulpo y jibias (de hecho en Taberna Nuestra Tierra los hacen de lujo) y en el interior de la provincia es más usual que se coman con conejo. Os paso la receta de cómo hacemos los gurullos en la Sierra de los Filabres.

    Ingredientes:

    • 1 conejo
    • 250 gr. de garbanzos
    • 200 gr. de gurullos
    • 5 patatas
    • 1 pimiento rojo seco
    • 2 tomates secos
    • 2 cabezas de ajo
    • 1 ramita de tomillos
    • Un poco de aceite
    • 2 hojas de laurel
    • Agua
    • Sal
    • Azafrán

    Para el sofrito:

    • 4 dientes de ajo
    • 1 cebolla
    • 1 tomate
    • 1 cucharada de pimiento molido

    Elaboración:

    Ponemos los garbanzos en remojo la noche anterior. Troceamos el conejo, le ponemos sal y lo freímos. En una olla con agua echamos los garbanzos y el conejo. Lo ponemos a hervir, le echamos el pimiento rojo, los tomates secos, las cabezas de ajo, el laurel, la ramita de tomillo y la sal.

    Cuando estén cocidos los garbanzos le ponemos las patatas.

    Hacemos un refrito con la cebolla, el ajo, el tomate y una cucharada de pimentón. Lo echamos en la olla y le ponemos los gurullos. Los dejamos hervir un poco. Dejar reposar antes de servir.



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