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je suis complètement démoralisé, il faut que je fasse un pause, ou arrêter. Merci à toutes et tous pour vos gentils messages
je ne suis pas arrivé à un an de blog
vendredi 1745 cotignacIl faut toujours chercher à rendre la parole à ceux qui en sont privés.
51 commentaires -
Pourquoi pas une omelette aux câpres.
C'est Provençal, ne vous faites pas du mauvais sang, souvent cette omelette était présente dans nos assiettes "avant", vous pouvez vous renseigner auprès de mes lectrices ou lecteurs certains la font encore ! Moi ? Pas très souvent, je n'y pense pas.
Les meilleurs câpres (tapènes en provençal) sont ceux conservés au sel, mais cette méthode de conservation très répandue en Italie, ne l'est quasiment pas ici, alors il faudra se contenter de câpres conservés au vinaigre.
Comme c'est tout bête, point d'image
Il faut pour 4 personnes :
1 poêle bien culottée
Neuveu de poule ,vérifiez la date et que le logo H5N1 soit bien portés dessus
Non, 8 ou dix oeufs feront l'affaire.
2 bonnes cuillerées à soupe de câpres aux vinaigre
du sel
du poivre du moulin
de la bonne huile d'olive
Dans un saladier bien battre les oeufs , le sel , le poivre et un dé à coudre d'huile d'olive
Essorez et sécher les câpres entre deux feuilles de papier absorbant
Mettre les câpres dans les oeufs 1/2 heure avant de faire l'omelette
Faire chauffer la poêle avec juste ce qu'il faut d'huile d'olive.
Versez et faire une bonne omelette un peu baveuse
Accompagnez cette omelette avec, une terrasse bien exposée au soleil, un bon mesclùn de salades sauvages bien aïlée (à défaut une bonne frisée craquante)
Et une tartine grillée de bon fromage de chèvre
Pour dessert je vous conseille de bonnes crêpes tartinées de confiture de pastèque
Si vous n'aimez pas vous pouvez toujours farcir votre crêpe à la sardine
Sardine: petit poisson sans tête qui vit dans l'huile.
24 commentaires -
Pascalin et Fieu de Ferre a Coutigna
Pascal et Fil de Fer à Cotignac
- hoù ! Fiéu de ferre, qu'as fa ?
- oh fil de fer, qu'est ce que tu as fait ?
- hoù Pascalin ! mi sieu rompu la cambo
- oh, pascal, je me suis cassé la jambe
- Mai coume as fa ?
- Mais comment as tu fait ?
- Ai resquiha sus uno merdo di can din la carrière
- j'ai glissé sur une merde de chien dans la rue
- D'aquelo empego ! I'a de merdo de can dins la carriero à Coutigna ?
- quelle histoire ! Il y a de la merde de chien dans la rue à Cotignac ?
- Ebé segur, que n'i'a e forço encoro, que i'a degun que seguis soun can émé un saqueto pèr ramasso sa merdo
- Bien ça c'est sur, qu'il y en a et beaucoup, et qu'il n'y a personne qui suis son chien avec un petit sachet pour ramasser sa merde
- é perque aco ?
- Et pourquoi ça ?
- Ah ? aco n'en sabi ren !
- Ah , ça je n'en sais rien
- é tu ramassés la merdo de toun can
- Et toi, tu la ramasse la merde de ton chien
- iéu ? ... moun can ? cago pas, moun can !!....
- moi ? ... mon chien ? il ne chie pas, mon chien!!...
texte et dialogue : Annette Fabrègue de Cotignac
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