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Les Geais ,Additif 6/5
Bon on en était là
La personne s'était pendue, ou avait été pendue, pourquoi, comment, par qui, pourquoi si loin ?
Cela on ne le sut jamais, les moyens d'investigation de l'époque étaient très limités. Bien qu'intriguante l'affaire fût vite classée, juste quelques lignes dans les journaux.
De même, pour l'identité de la victime, c'était un homme, mais on n'en sût pas plus.
Marcéou, passa plus de deux jours à la gendarmerie.
Entre la dactylographie balbutiante d'un gendarme, et la traduction des mots provencaux en français, les explications confuses et emmêlées, il fallut bien ce temps là, pour qu'il soit de nouveau autorisé à rentrer chez lui.
Fan de chichourle*, le retour au village fut bien plus difficile que ces deux jours passés auprès de la maréchaussée.
Adèle avait donné pas mal de ces oiseaux autour d'elle si vous faites bien attention et que vous suivez les articles précédents, ces personnes étaient devenues en quelque sorte "antropophages".
Mais si vous voulez savoir comment cela c'est passé, il faut me le demander..., mais la, il faut que j'invente et comme mes neurones n'ont pas un bon Karma en ce moment ce sera difficile
Je parle de l'histoire des antropophages d'Adèle, punaise pas du mort ; Le mort il est mort stop, le retour des morts vivants c'est fini depuis que Michael Jackson ou Jonshon (si le cireur de chaussure ) est allé expérimenter sous terre la vie en haillon, finis les paillette et bonjour les estrasses.
L'histoire d'Adèle elle encore en train de sauter de neurones en neurones , alors pour rassembler toutes ces bribes c'est pas facile, en plus il pleut, et lorsqu'il pleut en Provence c'est décrêté jour de deuil , sauf l'été pour faire fuir les hordes teutones et angloises qui envahissent notre espace vital.
Bon , revenons un peu au mort. Lorsque des affaires comme ça se produisent deux cas de figure sont se présentent.
1) la plus facile : c'est encore le milieu marseillais qui est venu régler ses comptes en maquillant le crime en pendaison par désespoir
2) c'est une affaire de cul , et c'est l'amant qui est venu pendre le mari en faisant passer cela pour un suicide
Mais le plus souvent c'est une affaire de cul entre maquereaux de marseille qui règlent leurs affaires à la campagne, donc cela ne nous regarde pas disent les gendarmes
Si on enquête vraiment on verra qu'en vérité rien de cela n'est vrai, la plupart du temps on retrouve sous les ongles des victimes des traces de résine signalant que le clan des écureuils indépendandistes est passé par là. Si si si c'est très clair vous verrez
Comme vous le savez on est pauvre en Provence, surtout en haute provence, donc de pauvres hères ramassent des pignes pour les revendre comme alllume feu aux pauvres mémés veuves qui ne peuvent plus aller en chercher elles mêmes.
Voler des pignes à des écureuils c'est pas bien, mais pas bien du tout.
Vous devinez la suite : les écureuils ont payé les corbeaux pour occire le malheureux , mais ces couillons de corbeaux pendent le cadavre afin que les goupils ne leur volent pas
Les écureuils ont horreur que leurs arbres servent de dépotoir puant donc ils grignotent la corde et (dépendent) le cadavre, aussitôt rappliquent les corbeaux afin de bouffer en vitesse dans la journée les restes (oui les corbeaux ne volent pas la nuit, enfin pas encore , on attend des croisement avec des chauves souris afin d'en faire des drônes pas cher pour l'afga sniffent tant, vague histoire de drogue il parait) avant que les renards embarquent les morceaux.
Bon le reste vous vous l'imaginez, voila
Maintenant vous avez une idée de l'état de mes neurones synapses et dendrites, bé c'est pas beau à voir la dedans.
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Commentaires
Par contre les pandorres étaient respectées avant, raillés mais tous le monde avait le profil bas, pourtant ils n'avaient bien souvent que des vélos
Les enquêtes étaient baclées ok, les erreurs judiciaires fréquentes, le bagne était encore en service
et les garnements d'autrefois ne les insultaient pas ni les caillassaient, il faut choisir
le mistral arrive aussi, vivement les cigales
Finalement le ou les coupables (s' il y en a ) ne seront pas punis , mais dans cette histoire de couillons c' est le pauvre pendu qui est frustré et lésé puisqu' on ne saura jamais qui c' était , haaaaaaaaaaaa que je suis déçue , pas par toi mon JUJU tu as fait ton devoir de rapporteur d' histoire , mais par la justice qui à cette époque était en dessous de tout , il faut bien le dire , la maréchaussée de cette époque méritait bien que l' on se moque d' elle ha ha ha . Pôvre gendarmerie de l' époque , elle n' était vraiment pas aidée .
Bisettes mistraliennes car ça souffle , mais le soleil est là est le ciel si connu en Provence est bien présent avec son plus joli bleu que tu connaisse .
RENEE (mamiekéké).
il va falloir que j'invente de toute pièce alors
bisous
désolé de ne point te répondre en provençal car le parler un peu ça va mais l'écrire couramment niet, et je le regrette beaucoup, cette belle langue se meurt, quel dommage
bisous
ah tu as trop bouquiné François Villon ! j'en ai soupé à l'école de la "ballade des pendus"
les corbeaux comme tous les animaux commencent à boustiller les parties molles il parait
j'ai la recette du bouillon de corbillat si cela t'intéresse, et du pas "sous cellophane"
bisous
ils ne savent plus dans quelles directions aller, c'est comme la mode
sais tu que le couteau japonais est devenu indispensable dans la tronche de nos "concitoyens"
dans quelques années ils vont revenir à l'opinel/andouillette avec un pain de campagne cuit dans des pots de fleur
si, si c'est la mode de faire cuire dans de mini pots de fleur actuellement
j'attends de sortir ma fracassante recette d'oeufs de caille mollets dans les les dés à coudre
bizz
on parle jamais du gang des écureuils à la tv
bisous
(remarco ben que sé ,un jour, leï courpata mi manjoun, van agué dé travail! an bésoun d'agué lou rusclé, sas!)......................
Trop fort The Jupi.
Hier il nous faisait du pur Pagnol et en mieux et aujourd'hui, c'est du Hitchcock style " les oiseaux " avec un mélange de " borsalino "de jacques Deray.
Bisous.
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J'ai lu, je ne sais plus où, que les corbeaux commençaient toujours par attaquer les yeux ; ce qui évite à leur victime de voir leur fin arriver ! Sympa tout de même, non ?
Je plains les myopes, les presbytes etc... !
Merci pour l'additif. Gros bisous, Betty